Les technologies de surveillance des citoyens contribuent-elles à consolider la vie sociale et la fraternité ?
Qu’il s’agisse de la vidéoprotection ou vidéo-surveillance, de la traçabilité des connexions internet ou téléphoniques, du traitement des données collectées sur les réseaux dits « sociaux », leurs acteurs, tels que l’État, d’autres autorités publiques, des sociétés commerciales, affirment vouloir protéger ou aider les citoyens et soutenir un intérêt collectif.
Mais cette surveillance individuelle de masse favorise-t-elle la fraternité en améliorant la protection et les relations, ou développe-t-elle une forme de méfiance généralisée et une altération de nos libertés ?
Certains d’entre nous revendiquent cette évolution au nom de la protection et d’autres la rejettent comme étant une surveillance illégitime.